dilluns, 14 de setembre del 2009

un caval per mas escobilhas

A Vendargas, vilatge pròche de Montpelhièr, dins lo centre, las escobilhas, las amassaràn amb una carriòla e un caval.
Acabats lo bruch e la polucion del camionàs a 05h30 lo matin!


L'article de Midi Libre:
Après l'exemple de Beauvais, les ordures dans le vieux village seront prélevées avec l'aide de Quignon dès le 1 er octobre Il s'appelle Quignon. Il est bon comme du bon pain. Ce Comtois français d'une tonne environ ne se rendra pas utile dans les champs, où les chevaux de sa race sont réputés y exceller pour labourer les terres. Non, Quignon va ramasser les poubelles ! Après les chevaux agriculteurs ou aide-policiers, les voici tenants d'une politique écologique. Déjà en place à Beauvais, dans l'Oise, ce nouveau service va bientôt être instauré à Vendargues. Son maire Pierre Dudieuzère s'explique : « On veut faire de notre cité la ville du cheval. C'est écologique et c'est conforme à nos traditions. Il y a ici 150 propriétaires de chevaux et même une policière à cheval. » Et pour pousser ce voeu encore un peu plus loin, le premier magistrat a imaginé l'équidé encore plus utile, au service de la population. Ainsi est née l'idée du ramassage des poubelles dans le vieux village. Le procédé sera donc effectif à partir du 1 er octobre prochain. « Quignon prélèvera les déchets pour 1 500 équivalents habitants », relève Pierre Dudieuzère. Montpellier Agglomération, compétente en la matière, a donné son accord. Sita, la société qui a le marché dans la commune, est en train de finaliser l'attelage qui permettra une collecte efficiente. Elle se fera chaque jour, durant six heures environ, pour à peu près 1,2 tonne d'ordures. « Un rippeur sera embauché ainsi qu'un cochet. »L'autre nouveauté, c'est la demande qui doit être faite aux propriétaires de remplacer les bacs par des crochets auxquels les sacs seront suspendus.
Dernièrement, durant la fête votive, Quignon, drivé par Christophe, a posé pour la postérité et fait le tour du village en calèche, avant de se rendre au déjeuner au pré à l'ancienne. Une façon d'habituer l'animal à ses nouvelles fonctions... Peut-être l'idée se propagera-t-elle au-delà de la commune, à l'est de Montpellier. Peut-être aussi Vendargues trouvera-t-elle d'autres projets pour que les chevaux qui n'aident plus dans les champs se rendent utiles auprès de la population.

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